D’après l’étude Harris Interactive pour AbbVie (mars 2015), pour 87 % des patients atteints par la maladie de Verneuil, la douleur est la principale cause de gêne associée à cette maladie. Le niveau moyen de douleur subit par les personnes atteintes par la maladie de Verneuil est de 7 (sur une échelle allant de 0 à 10) et pour 38 % d’entre eux il se situe entre 8 et 10.
Dans cette même étude on apprend que 55 % des personnes interrogées se sont dit insatisfaites de la prise en charge de leur douleur.
79 % des patients se font également l’écho d’une mobilité réduite due à la maladie de Verneuil et à ses symptômes. A cause de la localisation des abcès et des nodules, se déplacer peut devenir extrêmement compliqué, voire impossible par moment. Même les activités quotidiennes sont très impactées car 60 % des répondants estiment entre 7 et 10 l’impact de la maladie sur celles-ci. Et 70 % des répondants estiment entre 7 et 10 l’impact de la maladie de Verneuil sur leurs loisirs.
… AUX CONSÉQUENCES IMPORTANTES
Le caractère imprévisible de l’évolution des lésions (possible apparition en quelques heures d’un nodule inflammatoire douloureux), la localisation des lésions (en particulier toute la région périnéale), l’importance de la douleur, mais aussi les difficultés diagnostiques et thérapeutiques entrainent une forte détérioration de la qualité de vie des 600 000 personnes touchées par la maladie de Verneuil.